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Les Echos prennent notre action en exemple

La campagne de riposte aux récentes critiques de Nicolas Sarkozy sur le régime de l'autoentrepreneur a été priise en exemple par les Echos pour montrer comment les organisations représentatives peuvent  utiliser Internet et les réseaux sociaux. 

Extraits de l'article rédigé par Ariane Gaudefroy :

Microséisme dans le monde de l'entrepreneuriat. Le 13 mars dernier, Nicolas Sarkozy critiquait l'une des innovations phares de son propre quinquennat : le statut de l'autoentrepreneur. Aux micros de France Info, l'ancien président de la République a déclaré : « C'est un caillou dans ma chaussure On a un problème de concurrence déloyale entre l'autoentrepreneur qui n'a pas d'obligation et l'artisan. » L'ancien chef de l'Etat ravive ainsi une vieille polémique qui s'était apaisée depuis la refonte de la loi Pinel en 2014. Quelques heures après, l'Union des autoentrepreneurs et la Fédération des autoentrepreneurs ont chacune publié un communiqué de presse défendant le statut et se sont exprimées dans la presse écrite ainsi que sur les réseaux sociaux, en créant le hashtag #JeSuisUnCaillou. Elles se sont ensuite associées autour de la « pétition des petits cailloux » lancée en ligne le 15 mars, qui a récolté, en une semaine, plus de 10.000 signatures. Le lendemain, Nicolas Sarkzoy revenait sur ses propos dans une interview à « Nice-matin » et plaidait pour « garder le statut de l'autoentrepreneur » tout en accordant plus de souplesse aux autres statuts.

Attention à « Je suis Charlie »
« Cette campagne est exemplaire, explique Marie Muzard, la directrice du cabinet de conseil en communication sensible MMC. Elle montre comment orchestrer une riposte intelligente avec peu de moyens. » Les clefs du succès ? « Les organisations représentantes du statut ont su réagir très vite et unir leurs forces pour faire passer leur message, en évitant l'écueil de la contradiction », assure Marie Muzard. L'utilisation du Web est « particulièrement réussie : un site dédié au sujet a été mis en ligne et la communauté des autoentrepreneurs a été mobilisée grâce à des signes de ralliement », note l'experte. La création d'un logo (voir ci-contre) détournant le slogan « Je suis Charlie » a également fait mouche : « En le reprenant comme avatar, les partisans de l'autoentrepreneur ont boosté la viralité de la campagne », explique l'experte....

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