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Dirigeants, quelle perception avez-vous du statut de l’auto-entrepreneur ?

Sommaire

Retrouvez les résultats de l'enquête sur le régime de l'Auto-entrepreneur menée par la CCI du Loiret en partenariat avec Excom.

  • Pourquoi ce statut a-t-il été plébiscité par ceux qui l’ont choisi ?
  • Avec du recul, quel regard les auto-entrepreneurs portent-ils sur leur expérience ?
  • Comment sont-ils perçus par les dirigeants ayant opté pour un statut plus « classique » et quelles relations entretiennent-ils ensemble ?

Après l’engouement qui a suivi son apparition (avec un pic de créations en 2010 au rythme de 30 000 nouvelles immatriculations mensuelles en France), le régime d’auto-entrepreneur semble avoir désormais trouvé un rythme de croisière. Véritable phénomène de société, il a, du fait de sa simplicité et de son niveau de risque peu élevé, suscité bien des vocations pour devenir, sinon chef d’entreprise, tout du moins « son propre chef ».

La CCI du Loiret, dans sa dernière enquête du Martroi intitulée « Dirigeants, quelle perception avez-vous du statut de l’auto-entrepreneur ?» a interrogé sur ces questions 150 entrepreneurs du département qui, pour moitié ont un statut d’auto-entrepreneur, et pour l’autre moitié, un statut « classique » (entreprise individuelle ou en société).

En synthèse

Ce statut d’auto-entrepreneur confirme son intérêt pour tester une idée, du fait de son faible niveau de risque et de sa simplicité. Il est évident qu’il a suscité des vocations et permis à de nombreux particuliers (salariés ou pas) de sauter le pas pour devenir entrepreneur. D’ailleurs, si c’était à refaire, dans la plupart des cas, ces entrepreneurs le referaient avec ce statut.

Pour certains, l’auto-entreprenariat a été une solution de facilité pour retrouver une activité et un revenu. La simplicité de création d’une activité ne doit, néanmoins, pas empêcher le porteur de projet d’avoir une réflexion et une analyse stratégique (commerciale, financière...) préalable à la création de l’auto-entreprise. Ce statut a été un tremplin pour lancer une activité que les entrepreneurs continuent de développer aujourd’hui avec un statut d’entreprise plus classique du fait de l’atteinte des seuils de plafonnement.

Pour les dirigeants de structures « classiques », ce statut est encore méconnu et offre parfois une image « peu crédible ». De fait, les relations entre ces deux types de structures existent mais restent limitées, tant en ce qui concerne leur nombre que leur fréquence. Enfin, l’aspect concurrentiel se révèle globalement peu préoccupant.

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